Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 novembre 2017 2 07 /11 /novembre /2017 04:22
Ty Bollinger
 
UN DOCUMENTAIRE D'INTRODUCTION  INCONTOURNABLE SUR LE CANCER

extraits :

« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer »

docteur ben Johnson

 

« Ce n’est pas le cancer, qui fait vraiment mal aux gens, statistiquement ; 42 à 46 % des patients qui ont un cancer meurent de cachexie,…, ils perdent, essentiellement toute leur masse corporelle, le reste, entre 54 et 58 % meurent des traitements. En d’autres termes, personne ne meurt du cancer. »

docteur rashid Buttar

 

« 97 % des personnes qui subissent une chimiothérapie sont mortes, dans les cinq ans, cela a été publié en 2004 dans le journal of oncologie…..C’est tout a fait vrai encore aujourd’hui, depuis, cela n’a pu qu’empirer »

 

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

les sites a visiter impérativement
Les protocoles pour lutter contre le cancer
cancer tutor : lecture impérative
 
Cancer Tutor est Centré sur les Rares Traitements Alternatifs du Cancer
Saviez-vous qu'il y existe des traitements naturels ou alternatifs du cancer qui en tout ont un taux réel de succès de 50% pour des patients souffrant du cancer que la médecine classique renoncé à traiter ?
 
De très nombreuses infos, liens et témoignages (sur la droite du site, il faut choisir sa langue : le français)
 

Un monde sans cancer, l'histoire de la vitamine B17 (Laétrile) Par G. Edward Griffin

Cancer : remèdes interdits

Le cancer est guérissable maintenant !

introduction : la vérité sur le cancer

extraits : « Si d’aucun sont correctement informés des effets de la chimiothérapie sur le corps humain, ce sont bien les cancérologues qui prescrivent ce type de traitement à leurs patients. Or dans une étude parue en 2014 dans un journal en libre accès du nom de PLOS ONE, on apprend qu’une majorité assourdissante de cancérologues ne souhaiterait en aucun cas se voir administrer une chimiothérapie, si un diagnostic de cancer devait leur être annoncé. Parmi les milliers de médecins qui ont participé à cette étude, un pourcentage énorme de 88,3 % d’entre eux admettent qu’ils renonceraient pour eux-mêmes au type de « prise en charge lourde » qu’ils proposent à leurs patients. » page 107

 cancer :"Il s'agit d'un cercle vicieux qui  ne peut-être rompu que par une prise de mesures appropriées, lesquelles ne comprennent la notion de chimiothérapie et de radiothérapie en aucun cas." page 119

Mon conseil : faites vos recherches vous même, il n'y a sur ce blog, qu'un petit aperçu des informations disponibles sur internet. Et fuyez les forums de santé tels que doctissimo, atoute et les forums spécialisés, car ils sont totalement vendus ou créés par BIG PHARMA.

AVERTISSEMENT
Les renseignements diffusés sur ce support ont pour seul but de fournir de l’information aux lecteurs et aux visiteurs des sites référencés.
D’aucune manières, ces points de vue, commentaires et renseignements ne constituent une recommandation de traitement (préventif ou curatif), une prescription, un conseil, ou un diagnostic, ni ne doivent être considérés comme tels.
En cas de malaise important ou de maladie, consultez d’abord un médecin ou un professionnel de la santé en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé. Bien que les auteurs et diffuseurs de ce support procèdent avec prudence et diligence concernant l’exactitude des renseignements rendus disponibles, ils n’assument aucune responsabilité quant aux conséquences que pourrait avoir l’utilisation de ces renseignements.

Nos gouvernements ne veulent pas guérir le cancer !!
"Toute la chimio, elle vous tue", mais les gens veulent être remboursés.

"Les médecins qui donnent ce genre de traitement savent ils qu'ils condamnent le patient ?
Oui ils le savent !"

Partager cet article
Repost0
6 novembre 2017 1 06 /11 /novembre /2017 01:46
Partager cet article
Repost0
30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 11:33

Les traitements du cancer provoquent le cancer

sont spécifiquement attribués aux rayonnements, aux USA. Environ 16500 en meurt
 
docteur ben Johnson
 
Faire ce type de traitement,c’est comme de faire exploser une bombe au napalmpour tuer des araignées
 
Une fois que vous devenez un consommateur «régulier» de médicaments d'ordonnance pour l'anxiété, la douleur, la dépression, l'inflammation, l'arthrite, la fibromyalgie, les maladies cardiaques, l'hypercholestérolémie et le diabète, vous aggravez l'attaque chimique chaque jour. Vous créez plus de mauvaises cellules que de bonnes cellules et vous priver vos bonnes cellules d'oxygène. C'est la recette du cancer, mes amis.

Les médicaments chimiques provoquent le cancer

7 | Médicaments pharmaceutiques
La plupart de ce que la société traditionnelle reconnaît comme un médicament (en particulier en ce qui concerne les traitements anticancéreux), le corps le considère comme un poison. Les produits pharmaceutiques sont parmi les pires contrevenants toxiques dans notre monde moderne, avec une forte tendance lipophile à s'accumuler dans les tissus adipeux et neurologiques. Certains produits pharmaceutiques ont également une longue demi-vie, ce qui signifie qu'ils ne se décomposent pas très rapidement et peuvent mettre des mois, voire des années à disparaître de l'organisme.
 
Cette nouvelle n'est pas passée inaperçue dans le monde de la psychiatrie. Elle dit ni plus ni moins que la plupart des psychotropes seraient potentiellement cancérigènes. C'est ainsi que la FDA américaine vient de demander des études de carcinogénicité particulières pour les psychotropes
 
En plus de tuer plus de 5 millions de personnes au cours des dix dernières années, approuvé par la FDA, les médicaments psychiatriques provoquent un autre effet secondaire désagréable dont votre médecin n'a probablement pas entendu parler --ils augmentent considérablement le risque des utilisateurs de développer un cancer.
 
une grande fréquence de mammographies : un risque accru de cancer.  Les patients qui meurent au cours d’un traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas comptabilisés dans les statistiques lorsqu’ils n’ont pas reçu l’intégralité du traitement.
 
Diéthylstilbestrol, Thérapie de la ménopause aux œstrogènes seuls, Thérapie de la ménopause aux œstroprogétatifs combinés, Contraceptifs oraux œstroprogestatifs combinés, Tamoxifène, Busulfan, Chlorambucil, Cyclophosphamide, Melphalan, Sémustine (méthyl-CCNU), Thieotepa, Tréosulfan, Chimiothérapie combinée MOPP, Etoposide en association avec le cisplatine et la bléomycine, Etoposide (Groupe 2A en 2000), Chlornaphazine, Azathioprine,Ciclosporine, Méthoxsalen + rayons ultra violets, Plantes contenant de l'acide aristolochique, Acide aristolochique (Groupe 2A en 2002), Mélanges d'analgésiques contenant de la phénacétine, Phénacétine (Groupe 2A en 1987)
 
La seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 /an, dont une partie évitable ».
 
"L'œstrogène est responsable du cancer, de même que l'engrais est essentiel pour la culture du blé."
 
Les médicaments en cause incluent la famille des benzodiazépines, comme le témazepam, les non-benzodiazépines, comme le zolpidem, les barbituriques et les sédatifs antihistaminique
 
les traitements anti-cholestérol sont 3 à 5 fois plus cancérigènes que le tabac ou l’amiante.
 
Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers
 
Une étude en 2011  a montré que les hommes qui consomment des statines ont un risque accru de développer un cancer de la prostate. Un risque 86% plus élevé de développer un cancer de la prostate.
 
En conséquence, la mise en évidence de cet excès de cancers dans le groupe sous médicament anti-cholestérol est extrêmement inquiétante.
 
ces molécules, réputées jusqu'à très récemment, par plusieurs médecins scientifiques, diminuer le cancer du sein, en doublent le risque dès que l'usage de ces médicaments est régulier sur du long terme. Il faut rappeler que ces médicaments, qui augmentent nettement le risque de devenir DT2 avec des glycémies compliquées à gérer, et le risque de développer un cancer du sein, sont en général donnés à vie, par des médecins qui n'ont malheureusement pas pris le temps de lire l'ensemble des données scientifiques disponibles à ce sujet.
 
"Tout faire pour ne pas avoir à prendre les médicaments de l’HTA"
"effets catastrophiques sur le risque de développer un cancer"
 
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion et cancer du poumon
 
Régulièrement, des auteurs très sérieux (généralement des épidémiologistes, parfois des médecins) travaillant pour un département de Santé Publique d’un gouvernement d’un pays développé) annoncent qu’ils observent plus de cancers chez des patients traités pour hypertension artérielle (HTA pour les intimes) avec un médicament.
 
Les Drs. Ilke Sipahi, Daniel I. Simon et James C. Fang ont terminé une analyse de plus de 60.000 patients désignés au hasard à prendre soit un placebo ou un médicament de la pression artérielle connue sous le nom de l'angiotensine-récepteur (ARB). Ils ont constaté que l'ARB est liée à un risque accru de cancer. Par exemple, le risque de cancer du poumon était de 25 pour cent plus élevé chez les participants prenant ARB que chez les sujets témoins. Ces résultats ont été publiés en ligne dans la revue "The Lancet Oncology" en Juillet 2010.
....Non seulement les bloqueurs des canaux calciques à action rapide été liés avec le cancer, mais ils ont été montré pour augmenter le risque de décès d'une crise cardiaque, dit le National Institutes of Health, qui dit aussi qu'ils doivent être prescrits avec prudence.
 
en mon nom personnel, je vais vous donner mon opinion : il devient de plus en plus visible que les personnes traitées pour une supposée HTA succombent plus souvent de chutes (dues à des pressions trop basses ou à des hypoglycémies, les deux provoquées par les médicaments) qu’à des accidents cardiovasculaires avérés … sans parler des cancers que nos experts n’osent pas encore attribuer à leurs médicaments antihypertenseurs, malgré des données convergentes …
 
L'utilisation pendant dix ans et plus des anti-hypertenseurs de la classe des inhibiteurs calciques (ou antagoniste du calcium), qui est une classe très prescrite, était liée à un risque 2,4 fois plus élevé de cancer du sein canalaire (le plus fréquent) et 2,6 fois plus élevé de cancer du sein lobulaire
.
le tamoxifène qui multiplierait de deux à sept fois la fréquence du cancer de l’endomètre, muqueuse qui tapisse l’utérus
 
médicaments pour consolider les os, pendant plus de 5 ans, courent deux fois plus de risque que les autres d'avoir un cancer de l'oesophage, montrent des chercheurs britanniques.
 
Un autre médicament tristement célèbre à cet égard est chlornaphazine. Chlornaphazine a été autrefois largement utilisé dans le traitement de la polyglobulie. Son utilisation a été associée à une incidence accrue de cancer de la vessie [ 5 ]. Le tamoxifène qui est utilisé comme agent d'appoint dans le traitement du cancer du sein porte également un potentiel cancérogène significatif. Par exemple, Mignotte et al. dans une grande étude de cas contrôlée a indiqué que le risque relatif de développer un cancer de l'endomètre chez les femmes qui ont été administrés tamoxifène était de 4,9 par rapport aux femmes qui n'ont pas reçu de tamoxifène
 
La prescription à long terme des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), médicaments anti-reflux gastriques favoriserait le développement des cancers de l'estomac.
 
«Un médicament dangereux», «un anticancéreux qui donne le cancer».
 
Une méta-analyse de 61 études dans PLoS ONE trouvé un risque accru de cancer du sein chez les femmes prenant un antidépresseur.
«Aucun des 4 études épidémiologiques pour lesquelles le chercheur principal (PI) avait des liens de l'industrie a rapporté une association positive entre la consommation d'AD et le risque de cancer. Parmi les 22 études pour lesquelles la PI n'avait pas de liens de l'industrie, 45% (10/22) rapporté résultats positifs. De même, aucune des études pré-cliniques 11 pour lequel le PI avait des liens avec l'industrie rapporté des résultats positifs pour le cancer. Parmi les 24 études pour lesquelles la PI n'avait pas de liens de l'industrie, 42% (10/24) ont indiqué que les annonces étaient cancérigènes , promoteurs de tumeurs, génotoxiques ou néoplasique. Ainsi, au total, aucun des 15 chercheurs qui avaient des liens de l'industrie ont fait des constatations positifs pour le cancer, comparativement à 43% des chercheurs sans liens avec l'industrie. Il y avait une relation statistiquement significative entre les liens de l'industrie des chercheurs et conclusions concernant DA et le cancer ".
 
L’exposition aux antidépresseurs tricycliques entre 11 et 15 ans avant la date d’échantillonnage a été associée à une augmentation significative du risque de cancer du sein chez les femmes ayant reçu, en moyenne, le plus de médicament au cours de la période
 
AVERTISSEMENT: Les somnifères peuvent être dangereux pour votre santé ou causer la mort par cancer, maladie cardiaque ou d'autres maladies.
 
B7 TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF (THS) DE LA MENOPAUSE ET CONTRACEPTIFS ORAUX
Depuis 1980, les oestrogènes sont utilisés pour réduire les troubles liés à la ménopause (bouffées de chaleur, ostéoporose, affections cardiovasculaires). Dans les années 90, on s’est aperçu que l’administration d’oestrogènes augmentait l’incidence des cancers du corps utérin, ce qui a conduit à administrer simultanément oestrogène et progestérone. En 1997, une méta-analyse des études effectuées (essentiellement des enquêtes cas-témoins) a montré une augmentation de l’incidence des cancers du sein chez les personnes traitées, augmentation qui disparaît dès l’arrêt de l’administration, ce qui est normal puisque les hormones sont des agents de promotion.
Il apparaît que 5 317 cas de cancer du sein et 1 120 décès par cancer du sein peuvent être attribués au traitement hormonal, soit 12,7% des cancers du sein et 10% des décès causés par ce cancer.
 
Alerte FDA ; Le finastéride peut augmenter le risque de cancer de la prostate. Autres effets secondaires : dysfontion éréctile et impuissance persistante, dépression, suicide…
 
2 firmes pharmaceutiques font pression sur des scientifiques pour cacher des effets secondaires graves …: augmentent significativement le risque de cancer du pancréas, de pancréatite et de cancer de la thyroïde . Risque de cancer du pancréas multiplié par 2,4 chez les patients sous sitagliptine et par 2 chez les patients sous exenatide.
Risque de cancer de la thyroïde multiplié par 3,4 chez les patients sous sitagliptine et par 7,6 chez les patients sous exenatide
 
PIOGLITAZONE (Actos®) / anti-diabètique 
Risque de cancer de la vessie, l’Afssaps met en garde – Afssaps
 
Trois études renforcent les vieux soupçons. Arznei-Telegramm demande le retrait du marché. .Le soupçon d’effet cancérigène, de cancérogénicité existait avant même que le médicament soit mis sur le marché.
 
alerte afssaps 2009
 
protopic (tacrolimus) : pour eczema
La FDA a émis un avis de santé publique pour informer les professionnels de la santé et les patients sur une risque potentiel de cancer de l’utilisation de Protopic
 
prempro pour ménopause
Effets secondaires: cancer du sein, cancer de l’ovaire, cancer de la vésicule, le lupus, la sclérodermie, Strokes, les caillots sanguins, l’asthme sévère, des embolies pulmonaire
 
L'une de ces dangereuses conséquences est l'augmentation du risque de cancer associé à long terme à l'hormonothérapie
 
70 millions de scanners effectués en 2007 aux États-Unis pourraient conduire à 29 000 cas supplémentaires de cancers
 
Pour la première fois, le risque est officiellement reconnu. Le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), dépendant de l’OMS, vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérogènes du «groupe 1», ceux dont l’action est «certaine».
 
En 1975, on découvrait 7 000 cas de nouveaux cancers du sein par an en France. En 2013, on approche des 60 000 cas, et chez des femmes de plus en plus jeunes... Cancers, AVC, thrombo-embolies, dépressions, perte de libido, autisme chez les enfants... de nombreux effets secondaires graves et plusieurs maladies sont impliquées.
 
les contraceptifs oestro-progestatifs sont des cancérogènes du groupe 1 - c’est à dire avec le niveau de preuve le plus important
 
La pilule augmente le risque de cancer du sein, de l'utérus et du foie, car la prise est répétée pendant des mois, voire des années.
 
Après plusieurs années, certains patients développent une autre forme de cancer à la suite de leur traitement par chimiothérapie et la radiothérapie
 
Les parabènes sont des conservateurs largement utilisés dans les cosmétiques, mais aussi dans des médicaments et certains aliments.
 
C’est une alerte doublée d’une équation sans solution. L’affaire est parfaitement exposée sur le site de l’Agence nationale de sécuriré du médicament (ANSM).
l’Androcur® présent sur le marché français depuis près de quarante ans (également commercialisé sous le nom générique d’acétate de cyprotérone). Ce médicament est un dérivé de la progestérone ayant des propriétés anti-androgéniques
 
Après le Mediator, les pilules de troisième génération, la Dépakine ou les implants contraceptifs, combien de crises sanitaires à venir ? Un rapport de 96 pages, remis ce 3 septembre à Agnès Buzyn et commandé après l'affaire du Levothyrox, pointe "l'absence d'anticipation" des autorités et le manque d'accompagnement des patients.
Une première alerte dès 2008
Un risque multiplié par vingt
 
Tous les neuroleptiques disponibles, y compris la réserpine, élever les niveaux sériques de prolactine
 
Quels sont les dangers? «A 20 ou 30 ans, explique de son côté le Pr Bourguignon, les personnes surexposées risquent de développer des cancers et, dans le cas d'utilisation de techniques interventionnelles (chirurgie sans ouvrir), il peut exister un risque de brûlure sévère de la peau»
 
Des scientifiques américains ont averti vendredi que l'image scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays peuvent être dangereux.
 
Selon une étude parue dans la revue Arch. Gen. of Psychiatry, les femmes prenant des tranquillisants ou neuroleptiques, ont un risque accru de développer un cancer du sein. Cette analyse épidémiologique a porté sur 50.000 femmes traitées par un neuroleptique entre 1989 et 1995 et elles ont été comparées à des sujets témoins. Les auteurs constatent que le fait de recevoir ce genre de molécule augmente en moyenne de 16% le risque de cancer du sein. Cet effet est visiblement dépendant de la dose : le risque s'accroît en même temps que la dose et la durée du traitement. (Source Arch. Gen. of Psychiatry).
 
communiqué de presse
 
Dans toutes les villes des USA, l’augmentation de la teneur de l’eau potable en fluor a correspondu à une augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et tumeurs des cellules squameuses de la bouche ; autres méfaits : convulsions, os douloureux, éruptions cutanées, problèmes gastro-intestinaux, nausées et vomissements. ( au moins 300 médicaments contiennent du fluorure )
 
Une étude épidémiologique a aussi mis en évidence[13],[14] que la prise d'antibiotiques était statistiquement associée à une augmentation modeste mais significative du risque de contracter certains cancers chez les participants ayant eu des prescriptions répétées d'antibiotiques[14]. Cette augmentation était de 20 à 50% du risque relatif par rapport aux personnes non-exposées
 
 
D'après une étude publiée dans la revue de l’Association Américaine de Médecine, il est prouvé qu’il y a un Lien entre la prise d’antibiotiques et l’augmentation du risque du cancer du sein !
 
Cinq années de thérapie hormonale combinée double le risque, d’après une étude.
 
Cidofovir peut induire de multiples effets secondaires: insuffisance rénale grave, maux de tête, fatigue, nausée, vomissements, fièvre et éruption cutanée. Il est déconseillé aux femmes enceintes. Même à de très faibles doses, le cidofovir est cancérigène lors de tests sur les animaux.
 
Contraceptifs oraux (combinés, séquentiels), Diéthylstilboestrol, Érionite, Formaldéhyle, Iode.....
 
ce médicament est connu pour provoquer des inflammations du pancréas, des réactions allergiques, des maux de crâne (très fréquents), des vomissements (très fréquents également), mais surtout le cancer de la thyroïde.
 
Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur.
Mais ce faisant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu’à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur.
 
D’après une nouvelle étude de chercheurs français, les enfants nés de femmes ayant pris, afin de tomber enceinte, un médicament prescrit en cas de stérilité risquent deux fois plus que les autres de développer une leucémie.
 
Ces mentions légales avertissent désormais du risque accru qu'un cancer de la prostate de haut grade soit diagnostiqué sous ces traitements.
 
Quelque 40 ans après que le médicament a été commercialisé par la société Ciba Geigy, les tests de cancérogénicité ont été menées au détriment des contribuables par le National Toxicology Program, dont les résultats ont été publiés en 1995. Des souris adultes ont été nourris Ritalin sur une période de deux ans à des doses proches de celles prévues pour les enfants. Les souris ont développé une incidence statistiquement significative d'anomalies et les tumeurs hépatiques, y compris les cancers rares hautement agressifs appelés hépatoblastomes. Ces résultats sont particulièrement inquiétants que les tests ont été effectués sur des adultes, plutôt que de jeunes souris qui seraient censés être beaucoup plus sensibles aux effets cancérigènes. Le National Toxicology Program a conclu que le Ritalin est un «cancérogène pour l'homme», et a recommandé la nécessité de poursuivre les recherches
 
ce poison provoque des tumeurs cancéreuses du foie chez les souris de laboratoire.
 
Les agriculteurs exposés à de forts niveaux de pesticides, mais aussi ceux qui les utilisent pour leurs plantes d’intérieur, ont un plus grand risque de développer une tumeur cérébrale, selon une étude publiée en ligne, dans la revue britannique spécialisée Occupational and Environmental Medicine.
 
Une étude publiée dans le JAMA par le Dr. Rebecca Smith-Bindman, de l’université de Californie (San Francisco) et son équipe a trouvé que le nombre de scanners par millier de personnes a triplé aux Etats-Unis entre 1996 et 2010. Ces chercheurs estiment que 2% des cancers à venir seront directement liés à l’exposition à ces rayonnements. Tout en soulignant l’intérêt de l’imagerie médicale pour la santé, ils demandent aux médecins de bien mesurer le rapport bénéfices risques, d’en informer le patient et de limiter ou retarder certains examens.
 
Une étude récente publiée dans le Lancet (Lancet 2004;364) portant sur 170 000 personnes montre que des antioxydants de synthèse (vit. A,C,E +Sélénium) ne protègent pas contre le cancer mais plus encore que leur association avec du bêta carotène de synthèse augmente le risque de mortalité normale.
 
...Les produits de synthèse actuels n’ont rien à voir avec aucune des substances produites par la vie. Construits de toutes pièces, ce sont des corps morts et leur introduction dans l’organisme, du fait qu’il s’agit de corps chimiques étrangers à nos structures, provoque leur rejet. Ce rejet, hélas ne s’effectue pas sans léser divers organes de manière irréversible.
 
Il est loin d’être le seul dans son analyse et le NCI (National Cancer Institute) va plus loin en affirmant que ce chiffre s’élève à 40 % chez les femmes de 40 à 49 ans. L’Institut a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.
 
Dans le domaine des doses élevées (quelques dixièmes de Sievert ; voir chapitre " Le milli-Sievert, c'est quoi ? " 4.1.3mSv), de nombreuses études scientifiques (dont celles sur les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, celles sur les patients ayant suivi un radiodiagnostic ou une radiothérapie et celles sur des personnes professionnellement exposées) ont prouvé avec certitude l'existence d'un risque réel d'induction de cancers dans de nombreux organes dû au rayonnement. De nos jours, on admet que le risque de cancer mortel radio-induit est de 10% par Sievert pour des doses élevées. Ceci veut dire qu'on observera 10 cancers supplémentaires (dus au rayonnement) dans le cas où 100 personnes auraient été exposées à une dose de 1 Sievert.
 
«C’est d’ailleurs là-dessus que joue l’industrie dans son argumentaire. Sur certaines maladies, ce n’est pas le lien entre pesticides et maladies qui est faible. Ce sont les études qui sont faibles.»
 
Bref, d’un coté, nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. La DGCCRF évalue à 1.5 kilo par an la quantité de pesticide que nous ingérons. (page 271)
Il existerait, selon une étude de cohorte rétrospective taïwanaise récente, d’une durée de 5 ans et portant sur 59.647 sujets (17), une relation statistiquement significative entre la prise de benzodiazépines et le risque de can – cer, plus particulièrement du cancer hépatique, rénal et du cancer de la prostate et de la vessie. Une forte association existerait également chez les hommes entre la prise de benzodiazépines et le cancer du cerveau. Une telle association avec le cancer a aussi été retrouvée dans une étude longitudinale (2,5 ans en moyenne) américaine de 2012 sur 10.529 sujets (18), qui estime que le risque de cancer est augmenté de 35% chez les consommateurs à hautes doses de benzo – diazépines. Globalement, la prise de benzodia – zépines amènerait une mortalité au minimum trois fois plus importante selon cette dernière étude. Les biais n’ont cependant pas pu être entièrement exclus de cette recherche et ces résultats doivent être corroborés par d’autres études à venir
 
Les consommateurs de médicaments hypnotiques sont plus à risque de cancers et de décès que les non consommateurs selon une étude américaine publiée dans la revue anglaise British Medical Journal Open.
 
pensez-vous qu'il continuerait de prendre ce médicament ? En 1976 ont été écrites (seulement aux USA) plus de 500.000 recettes pour ce médicament”
 
Une étude récente a indiqué que le risque de cancer de l’œsophage a presque doublé chez les patients recevant 10 ordonnances ou plus pour les bisphosphonates oraux.
 
La balance bénéfices-risques du traitement hormonal substitutif de la ménopause est défavorable en raison d'un risque accru cardiovasculaire et de cancers du sein. Il expose aussi à un risque de cancers de l'ovaire.
 
C’est en partie la preuve s cientifique et biologique la plus concluante que  j’ai découverte au cours de ces 50 années dans le domaine de la recherche sur le cancer. »
 
Quel ironie, on ne meurt plus du VIH mais du cancer causé par les traitements  chimiques qui sont là pour vous aider à lutter contre le  sida. On peut dire je pense qu’ils  ne veulent pas nous soigner, juste nous tuer. Dans tout les cas tu finis entre 4 planches, très joyeux.
 
Ces femmes courent également un risque 40 fois plus grand de développer une forme peu courante de cancer du vagin appelé adénocarcinome à cellules claires, précisent les chercheurs. Ce cancer reste néanmoins rare avec un cas sur mille chez ces femmes exposées au DES. Les auteurs de l'étude soulignent toutefois que le risque de développer cette maladie subsiste jusqu'à au moins 40 ans. De plus ces femmes exposées au stade fœtal au Distilbène ont deux fois plus de chances de développer des cellules pré-cancéreuses dans le col de l'utérus ou du vagin et un risque accru de 80 % d'avoir un cancer du sein après 40 ans. L'analyse des données indique qu'à 55 ans une de ces femmes exposées à l'hormone sur 25 développera des changements cellulaires anormaux dans le cervix ou le vagin et une sur 50 souffrira d'un cancer du sein.
 
oestrogène de synthèse
 
Si l’efficacité du médicament est relative, les effets secondaires sont inquiétants : infections, cancers, ostéonécrose de la mâchoire, fractures atypiques notamment. On observe également des dermatites, des eczémas, des rashes et des endocardites.
 
L'Agence nationale de sécurité sanitaire, qui avait déjà alerté sur le phénomène en 2010 réitère ses conclusions. En s’appuyant sur plusieurs études parues depuis cette date, elle assure que les lignes à haute tension, représentent un risque « possible » de leucémie chez les enfants qui habitent à proximité.
 
Les personnes qui ont utilisé un inhibiteur de la pompe à protons pendant plus de trois ans auraient peut-être multiplié par huit leur risque de cancer de l'estomac, 
 
En particulier, a-t-il noté, le risque était plus élevé chez les personnes ayant utilisé des antibiotiques pendant une période plus longue, de 30 à 60 jours ou plus.
 
le risque de survenue d’un cancer du pancréas était 30% plus élevé chez les personnes prenant des gliptines. La metformine et le sulfamide, des antidiabétiques oraux, semblent aussi associés à un risque de 20 à 40% plus élevé pour ce cancer
 
Januvia et Byetta ont tous deux de nombreux effets secondaires, dont certains sont relativement mineurs. Mais les deux médicaments ont été  associés au cancer du pancréas , ce qui constitue généralement la base des poursuites judiciaires contre Januvia et Byetta.
 
 
 
 

Les vaccins provoquent le cancer

"Les vaccins provoquent le cancer" : L'inavouable composition des vaccins : La soupe de poisons - Dr Marc Vercoutère
 
"Les vaccins (tous) provoquent le cancer" Roland Daumesnil, ancien vice président d'une filiale de Pfizer 04 2023
 
un désastre pour la santé humaine, mais un super bénéf pour big pharma
 
 
Personne ne peut répondre à cette question car aucune étude n’a été menée en ce sens, pas plus que sur leurs risques mutagènes ou tératogènes. Or, les vaccins contiennent des substances carcinogènes. Ainsi, si vous téléphonez à l’Association américaine des pédiatres en leur demandant quelle est la dose maximum de dérivés de mercure, d’aluminium ou de formaldéhyde qui peut être tolérée par l’organisme d’un enfant, ils vous répondront que toute dose est dangereuse car ces substances sont toutes potentiellement carcinogènes. Or, elles se trouvent dans la plupart des vaccins. Si vous injectez vous-même ces produits à vos enfants, vous irez en prison mais si les médecins le font, ils ne risquent rien.
 
Pourquoi permet-on aux mêmes acteurs de l’industrie et du gouvernement de jouer aux apprentis-sorciers avec la santé humaine? Pourquoi personne n’a-t-il été rendu responsable de ces crimes par négligence ou pire encore ?
 
Lors d'une réunion en 2012, la FDA a voté pour permettre l'utilisation de cellules fœtales humaines et de cellules tumorales humaines adultes dans les vaccins, malgré la reconnaissance des nombreux risques, notamment le fait que les receveurs de vaccins pourraient plus tard développer un cancer.
 
Les études réalisées montrent la responsabilité des vaccinations multiples et répétées, telles que pratiquées hors protocole au sein de l’armée ; celles-ci affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi les organismes plus sensibles en cas d’exposition à différents produits chimiques (uranium appauvri, dioxines, produits chimiques des décharges et des industries...) et augmentant alors le risque de développer des maladies graves, comme le cancer.
 
J'ai reçu le vaccin contre la polio vers l'âge de 6 ans et j'ai développé un cancer en phase terminale au début de la vingtaine. Dieu merci, Dieu m'a donné des remèdes qui m'ont sauvé la vie !
 
Le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) admet que 98 millions d'Américains ont été contaminés pendant 8 années par des vaccins polio contenant un virus cancérigène" (le SV40)
 
Lorsque des fanatiques et des charlatans vous disent que la science a montré que les vaccins sont sûrs et efficaces, l’exemple des vaccins contre la polio montrent qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent [ou vous mentent ?]
 
 
 
vidéo
 
vidéo
 
 
Prof Montagnier
 
vidéo
 
vidéo
 
vidéo

Effets secondaires (sauvegarde) : "une véritable explosion des cancers" (30mn30) vidéo ci-dessous

Au moins 300 médicaments contiennent du fluorure

"En fait, le fluorure cause plus de décès par cancer humain, et le provoque plus vite que tout autre produit chimique. "--Dean Burk --  Congrès du 21 juillet 1976

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Les benzodiazépines / somnifères provoquent le cancer

Le THS  (traitement substitutif hormonal) provoque le cancer

L'aluminium vaccinal provoque le cancer

Les sels d'aluminium provoqueraient le cancer du sein

 

Cet adjuvant présent dans la majorité des vaccins n’est malheureusement pas que neurotoxique. Tumeurs et cancers sont également régulièrement observées chez l’animal - parfois même plusieurs années après la vaccination - mais aussi chez l’homme.
 
interfèrent avec les récepteurs oestrogéniques des cellules mammaires   cancéreuses    1135   .   L'usage   régulier   de   ces   produits   peut   favoriser   l'éclosion   d'un cancer du sein d'autant plus que l'aluminium est une substance génotoxique capable de causer des   altérations   de   l'ADN   et   que   les   cellules   cancéreuses   du   sein   montrent   justement   une instabilité génomique

Les IPP doublent le risques de cancer de l'estomac

Metformine contre le diabète : danger mortel

Pour ne pas avoir de cancer, : »il faut jeter les antidépresseurs, anxiolytiques et les somnifères à la poubelle » selon le prof henri Joyeux

Traitements hormonaux et cancer du sein / la pilule contraceptive est classée hautement cancerigène !

Prothèses mammaires = cancer

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 11:27

"Chaque année, 24500 nouveaux cancers sont spécifiquement attribués aux rayonnements, aux USA. Environ 16500 en meurt."

"la chimiothérapie et les rayonnements aident, seulement, environ 3% des patients"

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement,puis en français

RADIOTHERAPIE

Les radiation médicales sont une cause très importante (sans doute la cause principale) de la mortalité par cancer aux États-Unis au cours du XXe siècle. La seconde est que la radiation médicale, a reçu, même à des doses très faibles et modérés, est une cause importante de décès par cardiopathie ischémique, le mécanisme probable est un rayonnement-induction de mutations dans les artères coronaires, ce qui entraîne chez les clones dysfonctionnels (mini-tumeurs) des cellules musculaires lisses.
Des millions de cas de cancer, et des millions de cas de maladie coronarienne, peuvent être évités grâce à des changements simples et systématiques dans la façon dont les médecins utilisent les rayons X. C'est le message dans ce monumental livre par l'une des autorités les plus distinguées du monde sur les effets des rayonnements sur la santé.
 
plus de 50 pour cent des le taux de mortalité par cancer est en fait induite par les rayons X.
Dr John Gofman, MD, Ph.D. - Un physicien nucléaire et un médecin, et l'un des plus grands experts dans le monde sur les dangers des rayonnements - présente des preuves irréfutables dans son livre,
 
Les chercheurs ont découvert que même lorsque le rayonnement tue la moitié des cellules tumorales concernées, les cellules survivantes résistantes au traitement, appelées cellules souches du cancer du sein induites (iBCSC), étaient jusqu'à 30 fois plus susceptibles de former des tumeurs que le cancer du sein non irradié. cellules. En d'autres termes, la radiothérapie fait régresser la population totale de cellules cancéreuses, générant la fausse apparence que le traitement fonctionne, mais augmente en fait le rapport des cellules hautement malignes aux cellules bénignes dans cette tumeur, entraînant finalement à l'iatrogène ( induit par le traitement) décès du malade.
 
Commencez-vous à voir à quel point cette arnaque à la radiothérapie contre le cancer est vraiment énorme ? Pensez-y : si une exposition à seulement 100 mSv peut réellement causer le cancer , alors comment une exposition à 60 000 mSv peut-elle le « guérir » d'une manière ou d'une autre ?     Sans surprise, les mensonges de l'industrie du cancer s'effondrent quand on regarde la science. Pas étonnant que l'industrie doive travailler si dur pour garder les gens mal informés. Si les patients atteints de cancer savaient qu'ils recevaient des doses de rayonnement littéralement 60 000 % plus élevées (c'est-à-dire 60 000 mSv contre 100 mSv) que le niveau nécessaire pour augmenter considérablement le risque de cancer, ils ne souscriraient probablement pas à plus de « traitements »
 
Après que la radiothérapie s'est révélée être non seulement un échec, mais aussi fatale aux sujets de test initiaux, l'industrie médicale a simplement changé la dose, manipulé les statistiques et renommé le traitement comme une percée pour guérir le cancer.
 
De même, la radiothérapie est connue pour induire des cancers secondaires, ainsi qu'un large éventail d'effets indésirables graves. Une femme dont le sein est irradié est plus susceptible de développer un cancer du poumon, par exemple. Mais ses effets peuvent en fait être bien pires sur le cancer primaire qu'il est utilisé pour traiter...
 
un nouvel article intitulé «Le traitement par rayonnement génère des cellules souches cancéreuses résistantes aux traitements contre les cellules du cancer du sein agressives», publié dans la revue Cancer Le 1er juillet 2012, des chercheurs du département de radio-oncologie du Jonsson Comprehensive Cancer Center de l'UCLA rapportent que le traitement par radiation conduit réellement les cellules cancéreuses du sein vers une plus grande malignité.
 
La dissimulation plus répandue et omis concerne l'impact à long terme de la radiothérapie. Par exemple, un autre danger de la radiothérapie à la tête est un risque accru d'accident vasculaire cérébral. 9 Une étude de la tête et du cou patients ayant un cancer ont reçu une thérapie de radiation a constaté que les taux d'accidents vasculaires cérébraux étaient cinq fois plus que prévu. 10 Ce risque élevé d'AVC a été constaté de nombreuses années après l' administration du rayonnement. Le délai moyen entre le traitement de rayonnement et d' AVC était de 10,9 ans , mais le risque accru d'accident vasculaire cérébral a persisté pendant 15 ans après la radiothérapie.
La principale préoccupation avec la radiothérapie est qu'il peut déclencher des cancers secondaires années ou des décennies après que le cancer primitif a été « guéri. »
 
En ce qui concerne la radiothérapie externe, le protocole habituel délivre une dose de 10 Gy par semaine à raison de 5 séances de 2 Gy par jour. La dose totale délivrée par ce type de traitement varie selon les cas de 30 à 70 Gy, voire jusqu'à 80 Gy9
(note : 10Gy = 10sv = 10 000 msv, soit 500000 Radiographies thoracique (0,02 msv), par semaine / soit 25 000 fois la dose autorisé par an, pour un travailleur du secteur nucléaire ?? (c'est faux car : Le gray(Gy) est la dose de rayonnement reçue par l'organisme. Le sievert (sv) est un moyen d'évaluer l'impact biologique de ce rayonnement pour la santé de l'organisme, mais c'est tout de même très très important.))
 
Entre 4 et 4.5 Sv, on est à la DL50, c'est à dire que l'exposition va entraîner le décès de 50 % des personnes qui ont reçu cette dose
 
1 rd = 0,01 Gy = 1 cGy = 10 mGy
 
Une dose hautement ciblée utilisée dans la radiothérapie conventionnelle contre le cancer (dose unique) est de 2 000 mSv.
Apparemment, il n'y a pas de grande étude cumulative pour soutenir les taux de survie globale de la radiothérapie, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de données pour justifier le rayonnement , alors pourquoi est-il mis en œuvre quotidiennement? La réponse est l'argent, et les systèmes de croyances endoctrinés inculqués dans les écritures orthodoxes médicales
l'industrie du cancer conventionnelle est une entreprise annuelle de 125 milliards de dollars.
La dose de rayonnement de fond moyenne dans le monde pour un être humain est d'environ 2,4 millisievert (mSv) par an . Une dose très ciblée utilisée en radiothérapie conventionnelle contre le cancer (dose unique) est de 2 000 mSv.
 
Une erreur de paramétrage du logiciel utilisé pour réaliser les traitements de radiothérapie a entraîné un surdosage des patients, qui concerne a priori l’ensemble des cancers traités entre 1989 et 2000. Près de 5000 patients seraient concernés ; environ 300 auraient reçu une dose supérieure de 7% à celle qui aurait dû leur être délivrée. ...
 
Ce que l'industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons
La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi
La chimiothérapie regorge d'effets négatifs après traitement. Une majorité d'agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l'âge adulte.Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d'origine, mais liés au traitement.Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d'alkylation) sont réputés pour occasionner d'autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d'alkylation endommagent directement l'ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d'autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l'ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l'immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu'il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C'est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d'un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d'origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.D'autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l'endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l'âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.
 
Le plus gros souci lié à la radiothérapie vient du fait qu’en irradiant une tumeur, on ne peut éviter totalement d’irradier les tissus environnants. Il y a donc un risque d’altération de cellules saines, situées à proximité de la zone traitée. Cette altération entraîne ce que l’on appelle les « effets secondaires ».
Autres effets secondaires liés à la radiothérapie
Vasodilatation capillaire rapide dès la cinquième heure après irradiation, même à faible dose.
Action immunologique: Baisse rapide du nombres des lymphocytes.
Irritation de la peau à l’endroit traité.Pour des rayons au niveau de la tête et du cou: Chute de cheveux temporaire ou définitive, altération du goût, difficultés à avaler, sécheresse de la bouche et manque de salive, perte d’appétit si les doses sont fortes.
Pour des rayons au niveau du thorax et de l’abdomen : Vomissements, diarrhées, nausées, crampes et gaz pour la région de l’estomac et de l’intestin.
Pour des rayons au niveau du bassin : Troubles urinaires et douleurs lors des rapports sexuels.
Fatigue au bout de quelques séances, qui peut nécessiter d’adapter son mode de vie durant le traitement.
En France, de nombreux cas de patients mécontents qui revendiquent leur statuts de victimes suite aux erreurs humaines. La plupart de ces patients ayant eu des problèmes lors de leurs soins ont été surradiés pour plusieurs motifs comme une erreur d’étalonnage ou une mauvaise calibration du faisceau ou encore d’une déviation de ce dernier lors de sa construction.
Cette technique demande un matériel de pointe et une grande maîtrise de précision dans ses réglages. Trop souvent le personnel n’est pas assez compétent pour affiner ces réglages, seuls un peu plus de la moitié des centres de radiothérapie comptent une personne spécialisée en radiophysie médicale dans leur effectif.
Dans tous ces cas dramatiques de surexposition, les patients ont fait face à plusieurs complications allant d’une brûlure très prononcée de l’épiderme à la mort en passant par des problèmes au niveau des organes entourant la zone irradiée. Ces surirradiations peuvent provoquer des rechutes locales entrainant le plus souvent la mort si ce n’est pas détecté suffisamment tôt.
 
La première chose à prendre en compte, c’est que la tumeur, Carcinome de son petit nom, a disparu au bout du deuxième FEC100. Puis il y a eu 7 Taxol, et au bout du 3e Taxol, échographie et mammographie pour vérifier ce que l’on sentait à l’examen clinique, c’est à dire RIEN. Il n’y avait plus aucune trace.
La seconde chose a été l’opération, c’est à dire la tumorectomie sans tumeur, où on m’a confirmé qu’il n’y avait absolument plus rien, ni aux niveau des trois ganglions prélevés, ni au niveau du tissu prélevé à l’endroit de la tumeur disparue.Ensuite, il y a eu mes recherches sur les risques de la radiothérapie. Évidemment, aucun oncologue, ni chirurgien ni radiothérapeute ne m’en a soufflé mot. Mais aux vues des risques de cancers secondaires et surtout des risques de complications cardiaques qui surviennent généralement plusieurs années après les radiothérapies, il y a de quoi réfléchir. Surtout que je « bénéficiais » de 3 facteurs de risques accrus, à savoir :
Le fait d’être une femme
Le fait que la radiothérapie soit ciblée sur le sein gauche (proche du cœur)
Le fait d’avoir eu des doses de drogue cardiotoxique par la chimiothérapie, à savoir le FEC100.
 
• 2000 mSv Intoxication grave
• 4000 mSv Dose extrêmement sévère - survie possible
• 5 000 mSv Dose de rayonnement extrêmement sévère - risque élevé de décès
• 6 000 mSv Dose habituellement mortelle
• 10 000 mSv dose fatale
 
les premiers radiothérapeutes obtiennent des résultats. La première guérison par irradiations d’un cancer remonte à 1899.
Histoire et effets secondaires de la radiothérapie : cancers, problèmes cardiques, nécroses radiologiques....

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement,puis en français

RADIOLOGIE ET SCANNERS

En 1965, le Dr Ian MacKenzie a publié un rapport élégant intitulé « Cancer du sein suite à de multiples fluoroscopies » ( British J. of Cancer 19: 1-8) et, en 1968, Wanebo et ses collègues, stimulés par le travail de MacKenzie, ont rapporté « Le Cancer du sein après exposition aux bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki "( New England J. of Medicine 279: 667-671), mais peu étaient disposés à admettre que le cancer du sein pourrait être induit par un rayonnement faible.
 
480 pages (1990).
 
Prevention Cancer et dépistage : l’Arnaque Sémantique
Dans son livre «Prévenir le cancer du sein», le Professeur J.W. Goffman, montre que l’exposition aux radiations ionisantes, principalement aux rayons X, est responsable d’environ 75 % des cancers du sein aux États-Unis. Une mammographie tout les 10 ans augmenterait de 9% le risque de cancer.
 
un scanner du corps entier peut délivrer en une seule fois une dose de radiations de 20 millisieverts (mSv), ce qui correspond au maximum autorisé pour une année pour un salarié travaillant dans le secteur nucléaire
Une hausse incontrôlée du nombre de ces examens pourrait aboutir à une augmentation des cas de cancer, en particulier pour les enfants qui sont les plus vulnérables aux radiations. Selon l’ASN, "le risque sanitaire pourrait être une épidémie de cancer dans les dix années à venir", s’inquiète Jean-Christophe Niel, directeur général de l'ASN.
 
70 millions de scanners effectués en 2007 aux États-Unis pourraient conduire à 29 000 cas supplémentaires de cancers
 
Des scientifiques américains ont averti vendredi que l'image scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays peuvent être dangereux.
 
le docteur Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leurcémie était les radiations médicale dans la forume de diagnostic médical de rayons X
Dans les années 1970, le dr Bross a dirigé un projet qui a étudié l'auguementation alarmante des taus de leurcémie.Elle a été appelé : l'étude leucémie Tri-state. Son échantillion a utilsé des registres de 16 millions de personnes de New York, du Maryland de du Minesota
.
RAYONS NOCIFS : Scanners et radios augmentent le risque de cancers
Une étude publiée dans le JAMA par le Dr. Rebecca Smith-Bindman, de l’université de Californie (San Francisco) et son équipe a trouvé que le nombre de scanners par millier de personnes a triplé aux Etats-Unis entre 1996 et 2010. Ces chercheurs estiment que 2% des cancers à venir seront directement liés à l’exposition à ces rayonnements. Tout en soulignant l’intérêt de l’imagerie médicale pour la santé, ils demandent aux médecins de bien mesurer le rapport bénéfices risques, d’en informer le patient et de limiter ou retarder certains examens.
 
risque lié a la radiologie
Dans le domaine des doses élevées (quelques dixièmes de Sievert ; voir chapitre " Le milli-Sievert, c'est quoi ? " 4.1.3mSv), de nombreuses études scientifiques (dont celles sur les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, celles sur les patients ayant suivi un radiodiagnostic ou une radiothérapie et celles sur des personnes professionnellement exposées) ont prouvé avec certitude l'existence d'un risque réel d'induction de cancers dans de nombreux organes dû au rayonnement. De nos jours, on admet que le risque de cancer mortel radio-induit est de 10% par Sievert pour des doses élevées. Ceci veut dire qu'on observera 10 cancers supplémentaires (dus au rayonnement) dans le cas où 100 personnes auraient été exposées à une dose de 1 Sievert.
 
"Le moyen le plus efficace pour diminuer le risque des femmes de devenir une patiente atteint de cancer du sein est d'éviter assister dépistage." Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.
 
sur les 260.000 décès par cancer enregistré en Allemagne, entre 10.000 et 20.000 sont à mettre sur le compte des rayonnements
 
le Dr Bross est venu à la conclusion que la principale cause de la hausse des taux de leucémie était en radiation médicale dans la forme de diagnostic médical de rayons X
 
"Si une femme a une mammographie annuelle dès l'age de 55 à 75 ans, elle recevra un minimum de 20 rads de rayons.A titre de comparaison, les femmes qui ont survécu aux attentats à la bombe atomique à Hiroshima ou Nagasaki ont absorbées 35 rads...."
 
Les femmes porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2, donc à susceptibilité de cancers du sein et de l'ovaire, qui ont été exposées aux rayonnements ionisants des diagnostics d'imagerie de la poitrine, avant l'âge de 30 ans, ont un risque accru de développer un cancer du sein, selon cette étude publiée le 6 septembre dans la revue du BMJ.com. Un nouvel argument de cette équipe de recherche internationale, dont des chercheurs de l'Inserm, pour limiter certains examens d'imagerie médicale, scanographie et radiologie interventionnelle, sources d'une augmentation de plus en plus préoccupante de l'exposition aux rayonnements ionisants.
 
Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements
Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les «dictateurs du scalpel et du radium» ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait: «Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.»
 
scanner thorax (8 msv) = 400 Radiographies thoracique (0,02 msv)
Mammographie (0,7msv) = 35 Radiographies thoracique (0,02 msv)
scanner abdomen (10 msv) = 500 Radiographies thoracique (0,02 msv)
scanner tête (2 msv) = 100 Radiographies thoracique (0,02 msv)
coronarographie par scanner (21,4 msv) = 1070 Radiographies thoracique (0,02 msv)
 
« La dose moyenne d'un scanner (TDM) est de 10 millisieverts (mSv) mais, associé à un PetScan (TEP), les doses peuvent passer à 15-20 mSv », a indiqué le Dr Gérard, ce qui correspond au maximum autorisé par an pour un travailleur du secteur nucléaire.
 
La réglementation française fixe à 1 millisievert (mSv) par an la dose efficace maximale admissible résultant des activités humaines en dehors de la radioactivité naturelle et des doses reçues en médecine. Les limites de doses équivalentes pour le cristallin et pour la peau sont fixées respectivement à 15 mSv/an et à 50 mSv/an.
 
Le PET scan, aussi appelé tomoscintigraphie par émission de positons (TEP ou « positron emission tomography » en anglais) est un examen d’imagerie qui permet de visualiser le fonctionnement des organes (imagerie fonctionnelle). Il associe l’injection d’un produit radioactif visible en imagerie et la prise d’images par un scanner.

UNITES DE MESURE

1 rd = 0,01 Gy = 1 cGy = 10 mGy
 
Le gray est la dose de rayonnement reçue par l'organisme.
Le sievert est un moyen d'évaluer l'impact biologique de ce rayonnement pour la santé de ton organisme.
 

Quand on fait un scanner des poumons par exemple, la dose de rayons X reçue par le patient est de 10 à 100 fois plus importante que celle d’une radio pulmonaire.(faux : c'est 400 fois)
Et un scanner qui examine le thorax l’abdomen et le bassin c’est en terme de dose l’équivalent de ce qui est autorisé pour un travailleur du nucléaire en un an

Vers la 33 ème minute, il est dit que la mammographie, c'est 200 milli rads de radiation, soit : 200 fois la dose d'une radiographie pulmonaire !

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Les radiations médicales sont un danger incroyable de la façon dont elles sont utilisées aujourd'hui (risque de cancer....)

LES MAMMOGRAPHIE PROVOQUENT LE CANCER

 

"Après la mise en place du dépistage, on a vu fortement augmenter le taux de cancer du sein chez les femmes âgées"

"75% des cancers du sein dus a l'imagerie médicale"

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

radiographie dentaire : peut-être, pas trop de danger ??

les doses délivrées sont faibles, indique l’Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) : 1 à 8 microsievert (µSv) pour un cliché intrabuccal, 2 à 3 µSv pour une étude céphalométrique, soit l’équivalent de moins d’une journée d’exposition naturelle. Pour une radio panoramique c’est un peu plus élevé, 4 à 30 µSv.

La radiothérapie pour la stérilisation humaine

La bonne alternative au scanner semble bien être l'IRM, sans produit de contraste.

Ces produits ont été massivement utilisés pendant des années pour servir de marqueur lors des IRM et, d’un coup, on nous explique que le produit est retiré du marché car il se dépose entre autre dans le cerveau, les os et les reins des patients. Mais, rassurez-vous, ils nous disent que rien ne prouve à ce jour que le dépôt d’un métal dans nos cerveaux est nuisible…ce qui explique d’ailleurs son retrait en catimini alors que cela fait depuis 2015 au moins que des scientifiques ont identifié ce problème. 

 

RADIOTHERAPIE, RADIOS, MAMMOGRAPHIES, SCANNERS ET CANCER
Partager cet article
Repost0